Comment avoir plus de temps et plus d’argent pour réaliser ses rêves.
Travaillez moins, pour gagnez plus….
Chacun d’entre nous a des rêves, des envies, des ambitions, des projets.
Mais pour beaucoup, ces rêves sont d’ores et déjà morts avant même d’être formulés, car ils les trouvent trop fous, trop lointains ou trop inatteignables…
Et si je vous disais que tout est possible ?
Que les seules limites qui puissent exister sont celles que nous nous imposons à nous-mêmes ?
Vous répondriez peut-être : “Si c’était le cas, cela se saurait, et personne n’aurait à vivre les 3/4 de son existence à faire un travail absolument sans intérêt et pénible.”
Eh bien si. Savez-vous pourquoi ?
En fait, l’homme a peur. Il naît avec la peur. Il est élevé dans la peur. Et cette peur va conditionner, inévitablement, chacun de ses actes.
Nous avons tous grandi avec l’idée bien ancrée en nous que la vie est une longue vallée de larmes dont on ne peut espérer que de brefs moments de satisfaction, et parfois – si on a beaucoup de chance – quelques miettes de bonheur intense et passager…
J’ai rencontré, au cours de mon existence qui n’est pas si longue, une multitude de personnages passionnants et passionnés, drôles, créatifs, intelligents…
et enfermés dans un carcan misérable de routine antédiluvienne : travail de 9h à 19h, retour chez soi, épuisement, tâches ménagères, s’occuper des enfants, coucher.
Et pour couronner le tout, à peine quelques semaines de repos par an, trop courtes pour en profiter vraiment, et la lointaine perspective de la retraite qui leur permettra, enfin, de se reposer et d’être heureux.
Mais ne vous faites pas d’illusions, le niveau actuel des retraites permettra, à la grande majorité d’entre nous, de regarder la télévision et d’attendre que le temps passe…
Est-ce cela que vous voulez ?
Je suis sûr que non…
Nous avons à l’esprit l’exemple de nos pères, de ces hommes qui se sont littéralement “tués à la tâche”, que ce soit au bureau ou à l’usine, absents de la maison et étrangers à leurs propres enfants, et victimes d’une crise cardiaque à l’aube de la soixantaine.
Notre génération est différente, heureusement.
Elle exige du temps pour vivre.
Mais nous savons très bien que ce temps “à soi” se fait au détriment de nos finances, et il est difficile de se résoudre à manger des pâtes et à s’endetter pour seulement survivre et n’avoir aucun moyen de faire ce que l’on aime.
Bien peu trouvent “le” moyen de se sortir de cette situation.
Pourtant, cela est tout à fait possible et ne demande qu’un peu de courage, de confiance et l’envie de faire de son existence une véritable aventure.
Tout d’abord, je vous propose de décortiquer ces conditionnements et de les passer à la loupe :
Ce que l’on nous a appris est-il “réellement vrai” ?
Puis, je vous démontrerai que le simple fait d’alléger son existence, au propre comme au figuré, peut transformer complètement votre réalité…
Essayez, et vous verrez !
Nous aborderons ensuite la subtile distinction entre “adapter le monde à ses besoins” et “s’adapter au monde”, ainsi que les conséquences.
Il sera ensuite temps de passer en mode “concret” et de passer à l’action.
Savoir doser l’audace et un minimum de prudence sera notre prochaine étape, avant de programmer réellement notre nouvelle vie.
Il est étonnant de constater à quel point nous pouvons tenir à nos petites misères quotidiennes ! Nous verrons comment aborder ce virage délicat…
Enfin, nous terminerons par une vision plus large de ce que votre vie vous apportera, grâce à une mise en pratique.
D’autres que moi ont su mieux exprimer le fond de ma pensée, alors, j’emprunte sans vergogne les mots de D. Pennac pour vous dire que : “Si vous voulez vraiment rêver, réveillez-vous !”
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