Pourquoi est-il très important d’équilibrer sa vie professionnelle ?
Une aspiration forte pour beaucoup d’entre nous est de rechercher l’épanouissement dans sa vie professionnelle. Cela n’est pas toujours possible parce que nous n’exerçons pas le bon métier ou que nous travaillons parfois dans de mauvaises conditions.
Mais on peut admettre aussi et reconnaître qu’aimer son travail ne dépend pas que de son travail. Certaines personnes prétendent encore qu’il faut aimer son travail pour arriver à être relativement heureux.
Notre avis est plutôt que c’est un joyeux mixage des deux. Positiver et se sentir fondamentalement joyeux (se) et disposé(e) à savourer les petits bonheurs de la vie nous aident à apprécier notre boulot.
Quand on parle «boulot» souvent, A propos du « boulot »on a plutôt tendance à entendre davantage les gens proche de nous ronchonner et se plaindre sur ce qui va mal plutôt que de les entendre discuter de choses positives et de tout ce qui va bien. Aimer et apprécier son travail devraient être normal.
Naturellement Il y aura toujours des aléas, des pépins, ou certains aspects qui nous déplaisent, des collègues ennuyeux (ses), etc.
Une bonne partie de notre vie va se passer au travail, et on le sait, Il nous semble alors important de ne pas négliger ou laisser passer notre bonheur au boulot, car il va influencer tout le reste de notre vie.
On peut aussi avoir besoin parfois pour y arriver d’une vision nouvelle, d’un nouvel objectif à atteindre, d’une augmentation de salaire par exemple. Cela dit on a toujours l’impression d’être à deux pas du vrai bonheur. Et puis, si notre travail ne nous intéresse plus, on a toujours la possibilité d’en changer.
Mais il existe aussi des gestes simples qu’on peut faire pour améliorer et développer notre bonheur au travail. En voici quelques uns :
Se fixer un but à atteindre.
Développer votre motivation pour travailler sur un dossier vraiment important, trouver un nouveau client, demander une promotion…
Savoir s’accorder des pauses.
Pendant nos pauses on peut profiter pour décompresser vraiment. On se détend, on sort prendre l’air, ou pourquoi ne pas découvrir le quartier autour du bureau, on dialogue avec une collègue qu’on n’a pas vu depuis longtemps.
Décorer et aménager son bureau.
Personnaliser notre espace de travail en y ajoutant de la couleur, des fleurs, des photos, etc. Ces touches personnelles nous aideront à nous sentir bien!
Diminuer nos attentes.
Pour équilibrer sa vie professionnelle, il faut diminuer nos attentes.
Il faut aussi apprendre et savoir s’auto-féliciter, se congratuler tout simplement. On peut relever nos bonnes notes au travail et ce dont on peut être fier(e). Une manière de compenser un peu!
Lister les raisons de notre choix. Pourquoi le choix de ce travail? Dressez une liste des raisons qui font qu’on a choisi ce travail. Lorsque viendront les jours pénibles, cela nous aidera à mieux tenir le coup.
Se poser des questions. Quand on ressent une phase négative et que le travail pratiqué nous paraît trop lourd, fixons-nous un rendez-vous avec nous même pour réévaluer nos choix et nous questionner pour vérifier si notre travail nous convient toujours. Cette réflexion nous aidera ensuite à avancer…
Abandonner le travail… au travail.
Il faut essayer de définir et de délimiter nos heures de travail. Certains font le choix d’en exécuter le moins possible à la maison, d’autres se fixent des plages horaires fixes mais surtout… les respectent!
Essayer de se perfectionner.
Tentez de sauter sur les moindres occasions pour «apprendre» davantage. Suivez de nouvelles formations, ou encore des cours de perfectionnement, des ateliers, etc. Peut être que de nouveaux défis vous attendront au boulot ensuite.
Se divertir et s’amuser.
Pour équilibrer sa vie professionnelle, il faut ressentir du plaisir, et c’est souvent le fait de tous petits gestes. Dans l’ascenseur échangez des sourires, des discussions ou une balade avec des collègues avec qui on va tisser des liens, ou écoutez de la musique entraînante en faisant nos tâches, etc.
Parvenir à mieux réfléchir en faisant un pas de côté.
Pour mieux vous permettre de casser le rythme et de commencer à identifier les difficultés prendre quelques jours d’arrêt : réfléchir à quels sont vos besoins (de structure, d’équipe, de créativité) et vos plus importantes frustrations (manque de liberté ? de reconnaissance ?) ou encore quels sont les avantages et les inconvénients du poste que vous occupez (responsabilités, salaire, qualité de vie…) ? Vous pouvez aussi vous posez une question simple : qu’est-ce qui vous manquerait le plus si vous deviez tout quitter demain ?
Replacer le travail à sa vraie place est vital.
Accepter de reconnaître que le travail idéal n’existe pas, que la vie professionnelle ne représente pas tout et qu’il est impossible de tout avoir en même temps. A notre travail ce qui manque peut et doit être cultivé ailleurs. Rappelons-nous que nous étions des personnes de valeur avant de débuter notre travail et que nous le resterons bien encore après avoir cessé de le pratiquer.
Savoir accepter les critiques et les remarques, ainsi nous pourrons mieux progresser et améliorer notre travail.
Pratiquez la disponibilité et l’écoute active.
Dans la mesure du possible montrez-vous plus disponible auprès de vos collègues. Apporter votre soutien et votre assistance aux autres.
Rechercher et récolter des petits bonheurs.
La pause-café est le premier réflexe du matin. Même si quelquefois on a l’impression d’une perte de temps, souvenons-nous que c’est un formidable instant de convivialité et qu’il permet de résoudre beaucoup de problèmes.
En dialoguant, échanger des bonnes adresses.
Vos collègues ont testé de bons restos, ou une destination de vacances ou encore sont incollables sur l’organisation de sorties en famille : alors discutez-en et profitez pour les noter à votre tour!
Pour équilibrer sa vie professionnelle, gardez le moral !
Souvenez-vous : savoir être heureux, c’est aussi vivre simplement « comme les autres », pour ne pas dire « normal »…