L’hypnose, l’auto-hypnose intrigue et fait peur depuis fort longtemps.
Sans doute en grande partie à cause des hypnotiseurs de théâtre qui amusent le public aux dépens des personnes très hypnotisables.
Inutile de préciser que l’hypnose médicale n’a strictement rien à voir avec ces farces pitoyables et psychologiquement dangereuses, ni dans son protocole, ni dans ses applications.
Correctement et prudemment utilisée, l’hypnose ne présente aucun danger.
A partir du moment où l’hypnotiseur ne cherche pas à faire remonter des souvenirs qui n’existent pas (comme ceux de réincarnations passées) et ne se livre pas à des manipulations brutales, aucun trouble psychique ne peut résulter d’une séance.
Les séances d’hypnose doivent donc être abordées très progressivement et avec la plus grande prudence.
Un entretien préalable est indispensable, pendant lequel le praticien s’assurera que l’hypnothérapie est bien indiquée et qu’il n’existe aucune contre-indication.
Il cherchera à connaître toute l’histoire de la maladie du sujet, les traitements qu’il a subis, ainsi que les divers traumatismes qu’il a pu vivre.
Avant d’utiliser l’hypnose, le praticien doit connaître son patient, son langage, ses centres d’intérêt, sa culture, ses problèmes, son profil psychologique.
Mais il doit surtout démythifier l’hypnose et rassurer le patient à ce sujet.
L’hypnose, au-delà des préjugés médiévaux dont son image souffre encore, est un outil privilégié de manipulation de l’inconscient et du corps.
Non seulement elle nous permet de modifier, en nous, ce que nous désirons, mais elle optimise tout traitement, quel qu’il soit. Pour cela, le pouvoir de suggestion du médecin est indispensable.
L’hypnose est précisément l’art de transformer la suggestion en thérapeutique.
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