Le développement transpersonnel passe par le bien-être et la sérénité

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Nous sommes à Paris, il y a une quinzaine d’années, par une pluvieuse après-midi d’octobre A l’occasion d’une série de conférences sur le développement transpersonnel.

A l’occasion d’une série de conférences qu’il va donner sur le Dzogchen – la doctrine la plus élevée dans la Tradition tibétaine -, Tulku Thondup Rinpoché profite des quelques moments qui lui restent, avant sa première conférence, dans le confort d’un luxueux appartement du 7ème arrondissement mis à sa disposition par une famille de ses disciples.

Étonnant destin que celui que devait connaître cet enfant de cinq ans, né dans une tribu d’éleveurs nomades du Tibet oriental, qui fut reconnu comme la réincarnation d’un célèbre Maître spirituel et reçut en conséquence l’extraordinaire éducation réservée au Tulku, faite d’étude des textes sacrés, de prière et surtout de méditation, avant d’être, à l’âge de dix-huit ans, totalement déraciné par l’invasion chinoise.

Fuyant tout d’abord aux Indes, et s’installant par la suite aux États-unis, Tulku Thondup ne vécut plus jamais dans un monastère et oublia la discipline monastique.

Ce qu’il ne put oublier, en revanche, c’est l’état de méditation qui l’avait construit tout au long de son enfance et qui lui permit de traverser les épreuves les plus rudes sans jamais mettre en péril l’harmonie régnant dans son esprit.

«Dans la Tradition du Bouddhisme tibétain », me dit-il, « la méditation est évidemment centrale chez les moines, mais elle apporte aussi un soutien appréciable dans le quotidien des populations. Elle les aide en effet à aborder les tourments de l’existence sans trop de stress, et même à guérir physiquement.

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Développement transpersonnel et méditation.

«Lorsqu’on médite, l’esprit s’apaise, se calme, et entraîne très vite une relaxation physique et énergétique. Une telle détente crée, en quelque sorte, un espace dans lequel les énergies circulent plus facilement.

«Inversement, lorsqu’il nous arrive d’être malade, tant physiquement que mentalement, c’est parce qu’un blocage est apparu au niveau énergétique. Le corps et l’esprit sont évidemment liés ; et toute déconnexion entre eux, même partielle, toute disharmonie, même temporaire, perturbe le courant énergétique et favorise l’apparition des troubles.

«Ainsi, lorsque quelqu’un est malade, au Tibet, il va d’abord consulter un Lama, afin qu’il lui indique une pratique de méditation. Et ce n’est qu’ensuite qu’il ira voir son médecin ».

En l’écoutant évoquer en ces termes l’influence primordiale qu’exerçait la méditation dans le cadre de la santé publique, je ne peux m’empêcher de penser que nous autres Occidentaux témoignons exactement du même type de demande en plébiscitant de plus en plus les méthodes de développement personnel.

Mais quel retard avons-nous dans ce domaine par rapport au peuple tibétain ! Nous reste-t-il donc tout à apprendre des Orientaux ?

«Non », me répondit Rinpoché, « car, voyez-vous, il se trouve que les techniques de visualisation utilisées dans la méditation bouddhiste présentent un grand nombre de similitudes avec celles que l’on retrouve dans la relaxologie* ou la sophrologie,* l’hypnose* et les autres psychothérapies occidentales.

«J’ai notamment été très surpris, il y a une trentaine d’années, lorsque j’ai lu les récits des premières NDE occidentales. Tout cela ne me paraissait pas très éloigné de notre Livre des morts tibétain. Cette similitude m’indiquait en tout cas que d’importantes prises de conscience avaient lieu en Occident.

«En fait, je pense qu’entre les découvertes orientales et occidentales, il y a un aspect commun qui est le bon sens dont tous les hommes disposent sur cette planète. En aucun cas on ne peut dire que l’Orient a copié l’Occident, ou inversement. C’est simplement ce bon sens qui nous révèle les mêmes principes ».

*  * *

Parce que j’accompagnais son attachée de presse, j’ai pu converser plusieurs heures avec ce grand maître de méditation.

Mais je dois avouer que cette discussion, pourtant passionnante, n’était rien en comparaison de l’effet que sa seule présence me fit dès la première seconde de notre rencontre.

Pour tout dire, à mes yeux cette présence résumait à elle seule l’essentiel du message que peut délivrer une vie entière consacrée à la méditation.

Et ce message était : la paix.

Dans un monde aussi oppressant que le nôtre, le calme, la sérénité, la paix, comptent indéniablement parmi les trésors qui valent la peine d’être recherchés, ne serait-ce que parce qu’ils vous offrent un avantage inestimable par rapport à l’écrasante majorité de vos semblables.

Mais pas seulement.

« J’ai personnellement des amis qui ont été confrontés non seulement à la souffrance et à la maladie, mais aussi à l’emprisonnement, au Tibet », me confiait encore Rinpoché.

« Eh bien, même dans ces conditions, ces personnes avaient toujours un esprit paisible et joyeux.

Ce que d’autres auraient considéré comme de grands malheurs étaient pour eux une source d’inspiration, d’enseignement, d’enrichissement, tout simplement parce que cette souffrance n’entamait pas la paix de leur esprit.

«Par contre, aussi bien en Occident qu’en Orient, on rencontre des gens qui sont riches et en parfaite santé… et qui se suicident.

C’est la preuve que le bonheur s’acquiert par la paix de l’esprit, et non à travers des facteurs extérieurs ».

Oui, notre société a su produire des richesses matérielles sans précédent dans l’histoire de l’humanité, mais est restée dramatiquement à la traîne en matière de richesses intérieures, autrement dit de véritable bonheur.

Le calme, qui est tout de même la condition sine qua non à l’accession à ces richesses intérieures, compte parmi les denrées les plus rares et les plus demandées.

Si bien qu’en l’espace de ces vingt où trente dernières années les systèmes de méditation et de relaxation, ainsi que le développement personnel ont connu un essor qui aurait semblé impensable dans les années 50 ou 60.

Cela dit, même si en Californie, il est naturel de consulter son psy au moindre problème et d’avoir son gourou attitré, c’est encore une majorité d’Européens qui ignore à peu près tout de ces domaines d’investigation du psychisme et de la conscience.

Quelle différence y a-t-il entre un psychiatre et un psychanalyste ?

Ou entre le développement personnel et la psychothérapie ?

Le Yoga et la méditation font-ils partie du développement personnel ?

Qu’est-ce que le Développement transpersonnel ?

Voilà des questions que l’on entend encore trop souvent et qui, avant d’aller plus loin, appellent quelques réponses indispensables.

 

 

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