Voici concept fort intéressant : L’échec n’existe pas.
Que feriez-vous si vous étiez absolument certain de ne pas échouer?
Je suis convaincu qu’une foule d’idées vous vient à l’esprit à l’instant. J’ai une bonne nouvelle pour vous. L’échec n’existe pas.
Peu importe vos erreurs passées, vos difficultés passées, les bêtises que vous avez commises, ne considérez jamais cela comme des échecs, mais plutôt comme une série d’expériences qui vous ont permis de grandir, d’apprendre et d’évoluer.
Dans son livre, « De la part d’un ami », Anthony Robbins a écrit : « Le jugement est basé sur l’expérience et l’expérience s’acquiert à partir d’erreurs de jugement. » C’est un cercle vicieux.
Si vous avancez dans la vie et que vous avez des projets vous ferez, tôt ou tard, des erreurs, vous prendrez des mauvaises décisions, vous cumulerez ce que certains appellent des échecs, mais ce sont ces expériences qui feront en sorte que vous en sortirez vainqueur.
Thomas Edison, après avoir effectué plus de 10000 tentatives a finalement fait l’invention de l’ampoule électrique.
Un journaliste lui a demandé : « Comment avez-vous fait pour échouer aussi souvent sans vous décourager ? ». M. Edison a répondu : « Ce que vous appelez échecs étaient en fait une série d’étapes nécessaires, un long processus, qui m’ont permis de découvrir l’ampoule électrique. »
Tentez le plus d’expériences possibles.
C’est la seule manière d’apprendre, d’évoluer et de grandir. Il est préférable de tenter quelque chose et de se tromper que de ne rien tenter et de mourir à petit feu. Celui qui ne tente rien par peur de l’échec fait de sa propre vie un échec parce qu’il n’évolue pas.
Un jour, une ouverture apparut dans un cocon. Un homme s’assit et regarda le papillon naissant se battre pendant des heures pour crever son abri et forcer le petit trou à s’agrandir. Mais bientôt il sembla à l’homme que l’insecte ne progressait plus.
Il était allé aussi loin qu’il avait pu, mais il ne bougeait plus.
Alors l’homme prit une paire de ciseaux et découpa délicatement le cocon pour aider le papillon à sortir. Celui-ci émergea facilement. Mais il avait un corps chétif et ses ailes froissées étaient atrophiées.
» Pas grave, il va se développer » se dit l’homme. Et il continua à regarder le papillon en espérant qu’il déploie ses ailes pour voler.
Mais cela n’arriva jamais. Le papillon passa le reste de sa vie à ramper sur son petit corps, incapable d’utiliser ses ailes rabougries.
Ce que l’homme, dans sa bonté précipitée, n’avait pas compris, c’est que le cocon trop serré est une ruse de la Nature pour forcer le papillon à le percer et à entraîner ses ailes. A cette condition seulement, il peut voler.
Parfois, nos angoisses, nos échecs, nos coups durs sont précisément ce dont on a besoin. Si la nature permettait qu’on avance dans la vie sans jamais rencontrer aucun obstacle, cela nous affaiblirait, nous serions semblables à ce papillon trop vite naît à qui la facilité a coupé les ailes.
La liberté est chèrement acquise… Mais on ne vole pas sans s’entraîner un minimum !
Il faut que le désir soit irrité par des obstacles. L’homme qui n’a rien à désirer est à coup sûr plus malheureux que celui qui souffre.
Dany Landry
Conférencier en développement personnel et professionnel
beneficesnet@hotmail.com
Cet article est un extrait des chroniques hebdomadaires de docteur bonheur disponible en écrivant à l’adresse courriel suivante : beneficesnet@hotmail.com. Cette reproduction a été autorisée par Dany Landry, conférencier. Pour vous abonner à ses chroniques hebdomadaires GRATUITES ou pour en savoir plus sur ses présentations, écrivez-lui à l’adresse : beneficesnet@hotmail.com.
